From Life To Death ?
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From Life To Death ?

Et si tout changeait après la mort ? Et s'il y avait bien plus que Paradis ou Enfer ? S'il était un monde allant delà de ces deux notions, terrain de guerre entre Bien et Mal où les âmes sont les armes ?
 
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 Lee Jong Hyun, d'humain démoniaque à soul angélique

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AuteurMessage
Lee Jong Hyun
Admin
Lee Jong Hyun


Messages : 13
Date d'inscription : 30/12/2010

About me :
Appartenance: Soul
Age : : 25 ans human, 3 semaines Soul
Pouvoirs: Télépathie

Lee Jong Hyun, d'humain démoniaque à soul angélique Empty
MessageSujet: Lee Jong Hyun, d'humain démoniaque à soul angélique   Lee Jong Hyun, d'humain démoniaque à soul angélique I_icon_minitimeJeu 30 Déc - 4:04

    « Who Am I ? »

      » Nom : Lee
      » Prénom : Jong Hyun
      » Surnom éventuel : Jake
      » Sexe : [] Fille ; [x] Garçon
      » Date et lieu de naissance (et de mort si directement sur Chronos) ? Né le 15/05/1985 à l'hôpital central de la Capitale, Ouranos. Mort il y a trois semaines, le 09/12/2010, à Ouranos.
      » Âge : 25 ans
      » Localisation / Monde : Chronos
      » Race : [] Human ; [x] Soul ; [] Angel ; [] Demon
      » Profession / Occupation / Mission : Sur Gaïa, tueur à gages et, plus que pour loisir, guitariste, chanteur, à l'occasion. Si la deuxième partie est valable sur Chronos, en revanche, là où il prenait les vies, il les sauve maintenant, en étant infirmier à l'hôpital central de la Capitale, Ananké.
      » Don : Télépathie

    « How Am I ? »


      - Tu veux boire quelque chose ?
      - J’ai l’air si desséché que ça ?

      Ce petit sourire, je l’avais vu des dizaines, si ce n’est des centaines de fois. A chaque fois que je me moquais d’elle ou laissait s’exprimer mes tentatives d’humour, elle m’en gratifiait, sans se départir de la gentillesse imprégnant ses traits.

      - Ok, ok, t’as aussi peu d’humour que ton homme !

      Sans relever ma répartie, elle s’était levée pour quitter le champ de la caméra, en même temps que la terrasse sur laquelle nous nous étions placés pour me demander, de l’intérieur, ce que je voulais.

      - Jus d’orange, ça ira, ne t’embête pas ! C’est pas pour ça que je suis là !

      Quelques secondes plus tard, elle était réapparue, posant un verre de jus en face de moi et l’autre en face d’elle, en se réinstallant, face à la caméra, posée à côté de moi.

      - Qu’est-ce que tu veux que je dise alors ?
      - Fais preuve d’imagination… et de sincérité, c’est tout ce que je te demande. Ça doit pas être facile tous les jours d’exprimer ce que tu ressens face à un bloc de glace comme ton mec !
      - T’exagères, il est pas si froid que ça.
      - Ok, pas un bloc de glace, un tas de glace pilée alors !
      - Non, il n’est pas comme ça avec moi. Il a toujours été gentil et prévenant.
      - Ouais, à croire, soit qu’il n’est comme ça qu’avec toi, soit le bloc de glace, c’est la version de mon pote qui m’est réservé !
      - C’est juste qu’il a du mal à exprimer ses sentiments.
      - Remarque, je m’en plains pas hein ! Je préfère qu’il exprime des sentiments envers toi qu’envers moi !

      Il était revenu à la charge son petit sourire ! Enfin, je comprends mieux pourquoi Jong Hyun l’aimait tant, elle était franchement à croquer avec le rouge aux joues.

      - Je sais qu’il parait froid et distant mais sous la façade, c’est quelqu’un de bien. Il s’est toujours montré doux et attentionné envers moi. Il ne le dit pas souvent, mais je sais qu’il m’aime plus que tout. Et il me le montre tous les jours.
      - Ah oui, comment ?

      En vérité, je le savais pertinemment… Mais voir ces deux là parler l’un de l’autre avait été un des meilleurs moments de cette décennie. Pour un peu, je les trouvais presque …. « mignons ». Pensive, elle avait levé les yeux vers le ciel.

      - Ses gestes, ses petites attentions…
      - Tout ce qui fait que t’es dingue de lui quoi … Vraiment, je me demande pourquoi j’ai voulu vous mettre ensemble tous les deux ! Après tout, je suis bien plus beau que lui !
      - Non … Enfin je veux pas dire que t’es pas beau … oh arrête, tu me fais dire n’importe quoi !
      - Non, continue ! Allez, dis-le ! Vous avez collé presque au premier regard, y a bien quelque chose qui t’a plu chez lui nan ?
      - Son regard quand il joue… le même qu’il pose sur moi quand on est tous les deux. Et quand je suis dans ses bras, je me sens comme dans un cocon, j’ai l’impression que rien ne peut m’arriver.

      Au début de sa réponse, ça n’avait pas été filmé, mais je me souviens avoir levé les yeux. J’aurais du m’y attendre ! Je lui aurais présenté mister univers qu’elle n’aurait probablement pas prêté une seconde d’attention à sa belle gueule…

      - Pourtant, des mecs au regard comme le sien, y en a d’autres… je connais beaucoup de musiciens qui ont le même. Et puis, en le rencontrant, t’avais aucune idée de la sensation que t’aurais dans ses bras ! Y a bien quelque chose qui a fait la différence…

      Son sourire timide et amusé qu’elle avait arboré à ce moment semble éclairer la vidéo. Il la connaissait bien sa moitié …

      - Cet air maladroit qu’il a quand il ne sait pas quoi faire de tous ses centimètres…
      - Lui ? Paraitre « maladroit » ? Je connais peu de types avec autant de maitrise que lui ! Même moi, et pourtant, je suis plus grand que lui, je ne suis pas sur d’être aussi…. sous contrôle que lui !
      - Parfois quand il est avec moi, j’ai l’impression qu’il se sent empoté, comme s’il craignait de casser quelque chose.
      - Toi peut-être …
      - Dis pas de bêtise.
      - Moi ? Jamais !
      - Tu as ce qu’il faut ou tu veux savoir autre chose ?
      - Décris-le moi… même si tu ne prêtes aucune attention à son troisième œil au milieu du front ou à sa verrue au menton ! Dis moi comment tu le vois, avec le regard que tu poses sur lui.
      - J'aime la douceur de ses traits et de ses sourires si rares. Quand il me serre contre lui, il dégage une impression de force et de sécurité. Pourtant il parait si sombre quand il se croit seul. J'ai parfois l'impression qu'il y a deux Jong Hyun.
      - Deux ?
      - Il y a cette carapace qu'il endosse à chaque fois qu'il n'est pas seul avec moi.
      - Une carapace ? Il se rentre dedans comme une tortue ?

      Elle était un bon public pour mes blagues à la con, même au plus nulles elle me gratifiait au moins de ce petit sourire amusé.

      - Un peu oui. Le bloc de glace dont tu parlais tout à l'heure. Mais je sais moi qu'il n'est pas comme ça au fond, qu'il est capable d'éprouver des sentiments. Il n'y a que quand il joue que ça ressort pour tout le monde.
      - Ne répète pas ce que je vais te dire, c’est confidentiel… mais je crois que c’est parce qu’il est dingue de toi … plus encore que de sa chère guitare !

      On dirait que j’avais tapé juste mais qu’elle en était parfaitement consciente à la façon dont elle m’avait souri, avait rougi avant de baisser le regard vers ses genoux sans me répondre. Ils se ressemblaient bien plus que je le pensais, je m’en rends compte en visionnant ces enregistrements.

      - Y a-t-il une dernière chose, un dernier message que tu as à lui faire passer ?
      - Je l'aime, mais ça il le sait déjà
      - Quelque chose qu'il ne sait pas encore ?
      - Il m'a fait le plus beau cadeau dont j'aurais pu rêver, mais ça je lui dirai moi-même.

      Elle avait hésité un instant avant de poser la main sur son ventre, pour répondre. J’ai presque des remords en revoyant ce geste vers la vie qu’elle portait en elle depuis quelques semaines et qui n’aura pas survécu plus de vingt-quatre heures après le tournage de cette vidéo, à l’instar de ses futurs parents… Je crois que c'est en regardant cette vidéo, que je me suis promis de leur offrir ne nouvelle chance, ailleurs, en d'autres circonstances. Je ne peux faire qu'offrir, à leurs nouveaux eux de voir s'ils saisiront l'opportunité qui leur sera offerte. Si elle avait su ...


    « How I Became Me ? »



      C'est décidé. Hier, j'avais encore des doutes mais maintenant, j'en suis certain ! Hier était mon dernier jour en tant que tueur à gages. Je lui dois au moins cela ! Mon ange n'a jamais su ce que je faisais réellement comme travail. Elle est loin d'être idiote, elle devait bien se douter que mon job dans une entreprise de nettoyage n'était pas tout à fait vrai. Cependant, jamais elle ne m'a posé de questions, jamais elle n'a cherché de réponses qui m'aurait éloigné d'elle par la force des choses.
      Et... Comment lui demander, les yeux dans les yeux, de m'épouser, si en lui faisant ma demande, je mettais sa vie en danger ? Si je devais être responsable de près ou de loin de quoi que ce soit lui arrivant, j'ignore comment ma raison et moi y survivrions. En fait, si elle n'était plus dans mon horizon, je ne voudrais pas lui survivre.

      C'est dingue. J'ai encore perdu un pari contre Julian ! Ce type est redoutable, je devrais pourtant savoir, à force, que je ne devrais jamais parier contre lui ! Il l'avait dit, il y a trois ans, le lendemain de ce fameux soir où il nous a présenté, qu'elle arriverait à percer la glace, qu'elle deviendrait mon salut, celle qui apporterait la chaleur de son soleil intérieur dans mon obscurité glaciale.En fait, je crois que je lui dois la vie à ce salopard, il me l'a rendue le soir où il m'a présenté celle avec qui je veux partager ma vie, la seule que j'ai jamais rencontrée qui m'ait donné envie de raccrocher les armes, de me ranger, alors que j'adorais mon job et le danger qui en découle avant de la connaitre et de l'aimer. A présent, je rêve d'une vie tranquille, de l'avoir pour femme, d'être le père de ses enfants. Pour un peu, il y aurait presque le chien et la barrière blanche que je détestais tant dans ces nouveaux fantasmes d'avenir.

      C'est tout cela qui explose dans ma tête alors que je la regarde, dans la faible clarté amenée par les lumières de la rue. Jamais visage n'aura été plus doux que le sien lorsqu'elle dort. Ma main fourmille d'envie d'effleurer les contours de ses traits, de toucher du bout du doigt sa peau. Mes lèvres s'assèchent de ce besoin impérieux d'embrasser les siennes. Mais pas ce matin, ce matin, j'ai autre chose à faire, pour cela, elle doit demeurer encore un peu endormie.

      A regret, je me relève avec précautions pour aller enfiler un jean, un t-shirt et ma veste de cuir, aussi noire que le reste de ma tenue. Un holster vient se nicher sous elle, abritant mon meilleur et plus fidèle ami. Quand bien même je raccroche, je ne le quitterai pas si facilement. Oui, même pour aller acheter le petit déjeuner à la boulangerie la plus proche pour faire ma surprise à mon petit ange, je sors armé. Déformation professionnelle peut-être ? C'est probablement elle qui me pousse à vérifier deux fois les serrures que je referme derrière moi avant de tourner le dos à la maison.

      Je n'ai jamais aimé marcher dans la rue, c'est à dire à découvert, encore une influence d'une vie comme la mienne. Cependant, ce matin, j'en ai l'envie, le désir, de prendre mon temps, de flâner. La vie est douce lorsqu'on a le cœur léger. Et dire que c'est seulement aujourd'hui que je m'en rends compte, que je prends conscience que moi aussi, je peux être tout simplement heureux, avec elle.

      Je ne suis guère surpris lorsque je vois Julian entrer dans la boulangerie quelques minutes après moi. Il a du trouver à squatter dans le quartier pour cette nuit.


      - Alors ? Décidé ? Prêt à lui faire ta demande ?

      A ses mots, le petit étui en forme de rose, recouvert de velours rouge me parait peser plus lourd dans ma poche. Cependant, c'est un de mes rares sourires que je lui renvoie.

      - Plus que jamais. Elle dort encore, j'ai prévu de lui faire la surprise en lui amenant les croissants frais au lit.
      - Elle dort ? Tiens, j'aurais juré avoir vu des hommes rentrer chez vous pourtant en passant devant !
      - Quoi ?

      Mon esprit ne fait qu'un tour. Je ne me rends pas compte que je me suis déjà élancé dehors, reprenant le chemin inverse aussi vite que mes jambes peuvent me porter. Je regrette à présent de ne pas avoir pris ma moto, comme à mon habitude. Ce temps perdu... ces hommes... Personne ne rentre chez nous ! Julian doit être le seul à avoir jamais pénétré en nos murs en dehors de nous deux, j'y ai veillé ! Ce ne peut être que...

      La crosse de mon flingue en est douloureuse dans ma paume tant ma main est crispée autour. Tout s'accentue lorsque j'arrive devant notre porte une dizaine de minutes plus tard et la vois fracturée, pendant lamentablement, tenant à peine par un gond. Je n'hésite plus et sors mon arme. Un bout de papier est épinglé sur le battant branlant. Quelques mots le noircissent, tracés d'une main furieuse, que je n'ai pas à approcher pour les déchiffrer.


      Citation :
      Tout se paie un jour ! Tu m'as pris ce que j'avais de plus précieux, à toi de savoir ce que cela fait !

      Mon esprit me quitte, plus rien n'existe. Le silence de la maison que je perçois du hall alors que je m'y fraie est pesant, impénétrable. Où est-elle ? Qu'est-ce qu'ils ont fait ? Pauvres fous, si vous avez touché au moindre de ses cheveux je ....

      Un homme apparait devant moi, sortant du salon. Je ne réfléchis pas, déjà, je l'ai en joue. Le rasoir qu'il a dans la main que je peux voir me fais serrer les dents à l'instant où mon doigt se crispe sur la détente. Ce n'est qu'à la fraction de seconde durant laquelle j'appuie sur celle ci qu'il laisse apparaitre la partie de son corps qui m'était cachée par la cloison. Avec ce bras invisible auparavant, il projette Hye Seok devant lui, sans sert comme bouclier. Trop tard, mon geste est déjà fait, je ne peux plus retenir la balle qui quitte le barillet, se glisse à travers le canon pour le quitter dans une détonation.

      J'ai l'impression que le temps se fige alors que je vois les yeux de mon amour s'arrondir tandis qu'elle perfore sa peau, pénètre sa chair. Je le sais, d'expérience, c'est le poumon que j'ai touché. Elle ne pourra survivre assez pour que les secours puissent faire quoi que ce soit, pas à cet endroit. Je viens de tuer ma lumière... Je viens de souffler la flamme de mon amour... Je viens d'assassiner le seul être bon que ce monde pourri porte encore en son sein et qui m'aimait. Le salaud qui la tenait la relâche, sentant probablement son corps s'alourdir, irrémédiablement attiré vers le sol. Après l'horreur qui m'a envahi en réalisant, je ne ressens plus rien, il n'y a plus d'autre sentiment en moi que le besoin de tuer, de la venger, de faire regretter à ce ou ces fils de pute d'avoir touché mon amour. Il n'y a qu'ainsi que je pourrais espérer commencer à racheter mon geste, à faire payer sa mort. Je n'ai pas besoin de plus pour lui loger une balle entre les deux yeux, le projetant, avec sa cervelle, en arrière.

      Mais je ne lui prête aucune attention. Déjà, les complices apparus dans mon champ de vision tombent comme des mouches, fauchés en plein vol par mes balles. 1, 2, 3, 4 et le cinquième. Si l'arc que je décris pour les abattre me semble durer plusieurs minutes, il ne me faut pas plus d'une seconde pour les avoir en réalité. Alors, je peux al regarder. Mais mon ange tombe, glissant vers le sol. Je me projette vers elle, l'attrapant avant qu'elle ne touche ce sol béni qu'elle a foulé.


      - Mon ange... Je ...

      Alors, je vois tout ce qui m'a échappé, aveuglé par la peur. Ce chaterton la bâillonnant, sa chair tuméfiée, lacérée de coups de couteaux sur les parties tendres découvertes de son être. Je sens contre moi ses mains entravés dans son dos. En la soutenant, ravalant une première larme, je me penche contre elle pour glisser une lame entre ses mains pour sectionner la corde que je sens poisseuse au touché. Tout ce que je peux faire alors est de murmurer à son oreille, tout ce qui me vient en tête... peu de choses en réalité.

      - Je suis désolé... Pardon... Pardon mon amour...

      Les mots bloquent dans ma gorge, peinent à sortir de ma bouche, enroués par ces larmes que je ne pense plus à retenir alors que j'utilise mes deux mains pour défaire son bâillon aussi délicatement que possible. J'ai l'impression de sentir sa vie filer entre mes bras alors que la fleur de sang sur la soie de son chemisier grandit de seconde en seconde. La main qu'elle lève et pose sur ma joue me réchauffe comme si le soleil en personne me touchait, malgré les tremblements qui l'agite. Sa voix est faible, sa respiration sifflante, mais elle ouvre tout de même la bouche, me laisse entendre sa voix si douce qui m'a tant de fois bercé.

      - Excuse moi… je…

      Je la serre plus fort contre moi lorsqu'une quinte de toux la secoue, marque son visage d'une crispation douloureuse. Le filet de sang qui s'échappe de ses lèvres pourfend mon coeur, traverse mon âme qu'elle a sauvegardé par sa présence à mes côtés.

      - Je voulais tant survivre pour toi… pour nous… pour notre enfant…

      J'ouvre la bouche pour répondre lorsqu'elle ajoute la dernière partie de sa phrase. De nouveau, des larmes que je n'ai pas versé depuis mon enfance viennent brouiller mon regard. Ma respiration se coupe. "Notre enfant..." Non... ce n'est pas possible...

      - Notre ... enfant ? Je viens de ...

      L'étui dans ma poche semble me bruler à travers les épaisseurs de tissu, je m'interromps, incapable d'aller plus loin dans ma phrase, d'ajouter ce " ...vous tuer", alors que mes doigts plongent dans ma poche pour se refermer sur cette rose au rouge fade à côté de celui de son sang imprégnant notre entourage. Son sourire perce ses larmes transperce mon coeur alors qu'elle recueille les miennes de son pouces. Les difficultés croissantes qu'elle éprouve à parler me pousse à précipiter tout ces projets de vie que j'avais, tout ce que je voulais pour elle, pour nous.

      - Je t’aime tellement… La mort ne peut pas nous séparer… Je serai toujours près de toi… Je te le promets…

      L'anneau d'or blanc serti d'un petit diamant rose apparait dans ma paume devant elle alors que je lui prends la main, mes larmes se tarissant pour laisser place à un sourire dont je ne me pensais pas capable. Je lui présente la bague en prononçant, dans un murmure, ces mots que je voulais entendre d'un autre, plus tard.

      - Kang Hye Seok, veux-tu me prendre moi, Lee Jong Hyun pour époux ?

      Il n'y aucune hésitation, ni dans son regard plongé dans le mien, ni dans sa voix.

      - Oui.
      - Et moi, Lee Jong Hyun, te veux pour épouse, Kang Hye Seok, pour le meilleur et pour le pire, sans que jamais la mort ne nous sépare.

      L'anneau est passé à son doigt et, alors que je me penche vers elle, ma main à présent libre trouve la crosse de mon arme et s'en saisit, alors que je murmure, presque contre ses lèvres.

      - Je peux embrasser la mariée.

      Je ne crois pas avoir jamais gouté plus doux que ses lèvres. Je ne pense pas avoir jamais ressenti pareille sérénité malgré mes larmes en sentant le canon de mon flingue contre ma peau, sur ma tempe. Et je suis certain de n'avoir jamais été aussi sûr de moi qu'en cet instant où mon doigt appuie sur la détente.

    « All About Me »

      » Prénom / Pseudo: Jake
      » Sexe : [] Fille ; [x] Garçon
      » Âge : 24 ans
      » Localisation / Pays : France
      » Depuis quand faites vous du RP ? Bien trop longtemps pour mon bien et celui des autres !

      » Avatar : Lee Jong Hyun
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